Autorisation de mise sur le marché
Syndicat professionnel des acteurs de la filière des supports de culture, paillages, amendements organiques, engrais organiques et organo-minéraux et biostimulants – Site web
« Les amendements servent à améliorer les propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols en place. Les amendements organiques, principalement d’origine végétale, servent à entretenir et à reconstituer le stock de matière organique stable du sol. Une partie de leurs composants, d’origine végétale, est transformée en humus sous l’action des micro-organismes du sol. L’amélioration du taux de matière organique des sols a un effet positif sur la structure du sol, sur sa capacité de rétention en eau, sur l’activité biologique. En complément de ces fonctions principales, les amendements organiques apportent également des éléments nutritifs directement utilisables par les plantes. Les amendements organiques vendus en France doivent être homologués ou être conformes à la norme NF U 44-051 ou à la norme NF U 44-095 » – AFAÏA
Autorisation de mise sur le marché
« Déchets non dangereux biodégradables de jardin ou de parc, les déchets alimentaires ou de cuisine provenant des ménages, des bureaux, des restaurants, du commerce de gros, des cantines, des traiteurs ou des magasins de vente au détail, ainsi que les déchets comparables provenant des usines de transformation de denrées alimentaires » – Article L.541-1-1 Code de l’environnement
« Mélange gazeux saturé en eau à la sortie du digesteur et composé d’environ 50 % à 70 % de méthane (CH4), de 20 % à 50 % de gaz carbonique (CO2) et de quelques gaz traces (NH3, N2, H2S). Le biogaz a un pouvoir calorifique inférieur (PCI) de 5 à 7 kWh/Nm3. Cette énergie renouvelable peut être utilisée sous forme combustive pour la production d’électricité et de chaleur, de production d’un carburant, ou d’injection dans le réseau de gaz naturel après épuration. » – ADEME
« Elles résultent de l’activité biologique des micro-organismes vivant dans les stations d’épuration, qui transforme les matières contenues dans les eaux usées, provenant des particuliers ainsi que de certains effluents industriels à condition que leur composition soit compatible avec les procédés utilisés pour le traitement des eaux et qu’ils n’altèrent pas la qualité des boues. Les boues sont principalement composées d’eau et de matières organiques et minérales et sont riches en éléments nécessaires à la croissance des plantes tels que l’azote, le phosphore, le potassium et des oligo-éléments. » – FAQ
« Boues qui ont fait l’objet d’un traitement de stabilisation lequel conduit à produire des boues dont la fermentation est soit achevée soit bloquée à la sortie du traitement. » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
Action de séparer les substances de densités différentes au moyen de la force centrifuge.
Avant d’épandre les boues en agriculture, action de les mélanger à de la chaux vive afin d’augmenter leur siccité, d’augmenter leur PH pour ralentir l’activité pathogène, de réduire voire éliminer les bactéries grâce à la réaction exothermique et de ralentir la fermentation anaérobie qui génère de mauvaises odeurs.
Composés chimiques qui proviennent de substances chimiques telles que les pesticides, détergents ou hydrocarbures ou de leur dégradation.
« Le compostage est un procédé de traitement aérobie (en présence d’oxygène) des déchets fermentescibles par les micro-organismes, dans des conditions contrôlées. Il produit du gaz carbonique, de la chaleur et un résidu organique stable (faible potentiel de biodégradabilité), riche en composés humiques : le compost. » – La FNADE
voir Composés Traces Organiques
Action de séparer les particules de densité plus lourde que l’eau, du liquide dans lequel elles se trouvent.
« Toutes les denrées alimentaires au sens de l’article 2 du règlement (CE) n° 178/2002 du 28 janvier 2002 qui sont devenues des déchets » – Rapport CSF Nouveaux systèmes énergétiques
« Les déchets dits assimilés regroupent les déchets des activités économiques pouvant être collectés avec ceux des ménages, eu égard à leurs caractéristiques et aux quantités produites, sans sujétions techniques particulières (article L 2224-14 du code général des collectivités territoriales). Il s’agit des déchets non dangereux des entreprises (artisans, commerçants…) et du secteur tertiaire (administrations, hôpitaux…) collectés dans les mêmes conditions que les ordures ménagères. » – ADEME
« Boues de stations d’épuration (STEP) ou graisses de flottation des Stations de Traitement des Eaux Urbaines ou STEU » – Rapport CSF Nouveaux systèmes énergétiques
« Ce sont les déchets, dangereux ou non dangereux, dont le producteur initial n’est pas un ménage. Les activités économiques regroupent l’ensemble des secteurs de production (agriculture-pêche, construction, secteur tertiaire, industrie). Une partie des déchets des activités économiques sont des déchets assimilés. » – ADEME
« Il s’agit des déchets issus des ménages et des déchets assimilés. Ils ne comprennent pas les déchets produits par les services municipaux, déchets de l’assainissement collectif, déchets de nettoyage des rues, de marchés, etc. » – ADEME
« Résidus d’origine végétale ou animale qui peuvent être dégradés par les micro-organismes pour lesquels ils représentent une source d’alimentation. Ils peuvent être d’origine agricole (effluents d’élevage…), agro-industrielle (abattoires, caves vinicoles…) ou municipale (biodéchets alimentaires des particuliers…). » – Rapport CSF Nouveaux systèmes énergétiques
« Ces déchets doivent être pris en charge par les producteurs des produits qui génèrent ces déchets. Selon la famille de produits, les modalités de prise en charge sont différentes. » – ADEME
« Les déchets verts regroupent l’ensemble des végétaux issus de l’entretien des espaces verts, des zones récréatives, des serres, des terrains de sport et des jardins de particuliers. Ils rassemblent notamment : les feuilles mortes, les tontes de gazon, les tailles de haies ou d’arbustes, les résidus d’élagage ou d’entretien de massifs ; qu’ils soient produits par une collectivité territoriale, une société privée ou des particuliers. Ces déchets sont soumis à des variations saisonnières avec, notamment, une forte croissance des végétaux au printemps (augmentation des tontes de pelouse, des tailles, etc.). Les déchets verts font partie, au niveau réglementaire, des « biodéchets ». » – Ordeco
Dans le processus de traitement des boues, action de diminuer la teneur en eau des boues pour obtenir une meilleure qualité du produit.
Résidus solides issus du processus de méthanisation des déchets organiques. Il se compose de bactéries excédentaires, de matières organiques non dégradées et de matières minéralisées. Après traitement, il peut être utilisé comme compost.
« La digestion anaérobie est la décomposition de matière organique et inorganique en absence d’oxygène, par l’action de micro-organismes anaérobies. Les réactions qui se déroulent dans un digesteur anaérobie sont généralement divisées en trois étapes principales réparties entre différents groupes de bactéries : hydrolyse-fermentation, acétogénèse et méthanogénèse » – https://www.dictionnaire-environnement.com/digestion_anaerobie_ID383.html
voir Déchet Verts
« Système économique d’échange et de production qui, à tous les stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer l’impact sur l’environnement tout en développant le bien être des individus. Elle prend en compte prend en compte trois champs : la production et l’offre de biens et de services, la consommation au travers de la demande et du comportement du consommateur (économique ou citoyen) et la gestion des déchets avec le recours prioritaire au recyclage qui permet de boucler la boucle. » – ADEME
Fumiers et des lisiers issus des filières d’élevage
« Certains de ces éléments sont des oligo-éléments essentiels pour la vie des plantes et des animaux pour lesquels l’équilibre entre carence et toxicité doit être trouvé: le Bore, Cuivre, Cobalt, Fer, Manganèse, Nickel, Sélénium, Zinc. Le Mercure, le Plomb, l’Arsenic et le Cadmium n’ont pas une fonction métabolique connue à ce jour et sont, de ce fait, considérés comme « non essentiels » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
« Les engrais apportent aux plantes les éléments utiles à leur nutrition. On trouve différents types d’engrais : minéraux, issus de la chimie de synthèse ou d’extraction minière (potasse, phosphates), organo-minéraux (mélange de composants d’origine minérale et de composants d’origine organique). Les éléments fertilisants contenus dans les engrais organiques ont une origine exclusivement naturelle, animale ou végétale (farine de plume, corne broyée, guano, vinasses…). La plupart d’entre eux sont autorisés pour la production biologique, grâce à leur conformité au règlement européen sur la production biologique (Règlement CE 834/2007). En plus de leur rôle d’apport direct d’éléments nutritifs, les engrais organiques stimulent l’activité biologique des sols, facilitant le déblocage des oligo-éléments. Ils maintiennent ou augmentent le taux de matière organique du sol, améliorant la structure du sol et favorisant la rétention de l’eau. L’apport d’azote par les engrais organiques est progressif et prolongé dans le temps. » – AFAÏA
Dans le processus de traitement des boues, action de séparer les phases solide et liquide des boues avant leur déshydratation.
« L’épandage est l’action de répandre dans les champs des matières présentant un intérêt agronomique. Le terme « épandage » est utilisé quelles que soient les matières épandues : engrais ou amendements minéraux, matières organiques brutes ou transformées. Lorsque l’on considère le retour au sol des déchets organiques, on envisage l’épandage avant tout comme un apport de produits bruts, notamment non compostés. La filière « épandage » concerne donc avant tout l’épandage direct de déchets organiques non transformés. Elle est encadrée par de nombreux textes réglementaires dans les domaines de l’eau et des déchets. Les déchets concernés sont d’origines urbaine (boues de stations d’épuration des eaux), agricole (fumiers, lisiers, effluents de fabrication de produits agroalimentaires) et industrielle (boues de papeterie). » – ADEME
Voir Eléments Traces Métalliques
voir Fraction Fermentescible organique des Ordures Ménagères
« Procédé de séparation des boues fondé sur des différences d’hydrophobicité des surfaces des particules à séparer. La flottation de boue est par exemple utilisée en minéralurgie pour séparer des minéraux entre eux et dans le traitement des eaux usées pour éliminer les graisses. » – ADEME
Fédération Nationale des Activités de la Dépollution et de l’Environnement – site web
« Les Ordures Ménagères Résiduelles sont la part des déchets qui restent après les collectes sélectives (après avoir retiré verres, cartons et emballages). Elles sont constituées d’une fraction organique et d’une fraction non organique. La FFOM est la fraction organique de ces OMR. » Chambre d’agriculture d’Occitanie
« La collecte, le transport, la valorisation et, l’élimination des déchets et, plus largement, toute activité participant de l’organisation de la prise en charge des déchets depuis leur production jusqu’à leur traitement final, y compris les activités de négoce ou de courtage et la supervision de l’ensemble de ces opérations » – Article L541-1-1 du Code de l’Environnement
Voir Traitement d’hygiénisation
Plastiques, verres, métaux
Qualité de ce qui n’est pas toxique. Les critères d’innocuité d’une MAFOR regroupent les valeurs en ETM, CTO, pathogènes et inertes.
Potassium
Voir Matières Fertilisantes et Supports de Cultures
Matière carbonée produite par les êtres vivants (végétaux, animaux, champignons ou micro-organismes). Via les complexes argilo-humiques, elle joue un rôle important dans la stabilité des sols. À la différence de la matière minérale, la matière organique est souvent biodégradable et peut ainsi être facilement recyclée en compost ou en biogaz.
Substance provenant de matière organique obtenue après avoir retiré l’eau contenue dans cette dernière.
« Une matière fertilisante est un produit dont l’emploi est destiné à assurer ou à améliorer la nutrition des végétaux, ainsi que les propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols. Les matières fertilisantes comprennent notamment les engrais et les amendements. Les engrais apportent des éléments nutritifs à la plante, tels que le phosphore, le soufre, l’azote… Les amendements servent à améliorer les propriétés du sol, par l’apport de calcaire ou de matières organiques. » – ANSES
« Dans le cadre de l’expertise Esco MAFOR, l’ensemble des matières d’origine résiduaire susceptibles d’être épandues dans un but de fertiliser et/ou amender les sols ont été prises en compte, et ont été désignées pour plus de lisibilité sous l’acronyme « Mafor » ou Matières fertilisantes d’origine résiduaire. Cet acronyme recouvre une large diversité de matières, notamment les effluents d’élevage (bruts ou traités), les boues issues du traitement des eaux usées urbaines ou domestiques, les matières, eaux et boues d’épuration issues des industries agro-alimentaires, papetière, pétrolière, textile, chimique…, les boues issues des opérations de potabilisation de l’eau, les composts de déchets verts, de déchets ménagers, de déchets organiques issus des activités industrielles ou domestiques (biodéchets), les digestats de méthanisation (compostés ou non), les cendres, en particulier issues des installations de combustion de biomasse à vocation énergétique, les sédiments dragués en milieu fluvial, les matières issues de la pyrolyse de certains déchets (biochars) » – INRAE
« Les matières fertilisantes sont des produits destinés à assurer ou à améliorer la nutrition des végétaux, ainsi que les propriétés des sols. Les supports de culture sont destinés à servir de milieu de culture à certains végétaux. » – ANSES
« Aussi appelée digestion anaérobie, la méthanisation est une technologie basée sur la dégradation par des micro-organismes de la matière organique, en conditions contrôlées et en l’absence d’oxygène, donc en milieu anaérobie, contrairement au compostage qui est une réaction aérobie. Cette dégradation provoque du biogaz ainsi que du digestat, produit humide, riche en matière organique partiellement stabilisée. Il est généralement envisagé le retour au sol du digestat après éventuellement une phase de maturation par compostage. Quatre secteurs sont favorables au développement de cette technique : agricole, industriel, déchets ménagers et boues urbaines. » – ADEME
Voir Matières Fertilisantes et Supports de Cultures
Matières d’Intérêt Agronomique issues du Traitement des Eaux
Etres vivants (champignons, bactéries, virus…) capables de provoquer des troubles de santé plus ou moins graves chez l’homme ou les animaux au-delà d’un seuil donné.
« Composée de protozoaires et de nématodes (longueur <0,2 mm), la microfaune vit dans les pores ou films d’eau de la matrice du sol, lui permettant ainsi de résister à la dessiccation du sol (univers de vie : l’agrégat, de 0,5 à 5 cm) » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
« Elle permet de transformer les éléments nutritifs de l’humus en éléments assimilables par les plantes et faune/flore du sol. » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
voir Matière organique
« L’azote (N) joue un rôle primordial dans le métabolisme des plantes en tant que constituant majeur des protéines. Il est essentiel pour la croissance des plantes. Le phosphore (P) transporte l’énergie dans la plante. Il favorise la croissance générale de la plante, notamment du système racinaire et des tiges. En fin de végétation, il est stocké dans les organes de réserves pour servir au développement des futures pousses. Le potassium (K) renforce la résistance des cultures aux maladies, à la sécheresse et au gel. Les oligo-éléments (Cuivre, Magnésium, Zinc…) sont utiles en quantité réduite pour réaliser l’ensemble des réactions chimiques qui ont lieu dans la plante. » – Page valorisation organique
« Eléments minéraux purs nécessaires à la vie d’un organisme mais en quantités très faibles. » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
voir Ordures Ménagères et Assimilés
voir Ordures Ménagères Résiduelles
« Les ordures ménagères et assimilés regroupent les ordures ménagères résiduelles (OMR), les déchets assimilés et les déchets collectés sélectivement : verre, emballages et journaux-magazines. »- ADEME
« Les Ordures Ménagères Résiduelles désignent la partie des déchets qui restent après des collectes sélectives, aussi appelée poubelle grise » – ADEME
voir Pouvoir calorifique inférieur
« Le plan d’épandage est un document de synthèse qui définit, en fonction de leur aptitude à l’épandage, les îlots culturaux qui pourront faire l’objet d’épandage d’effluents organiques. Il montre que l’ensemble des effluents d’élevage peut être épandu dans des conditions environnementales satisfaisantes, y compris sur les parcelles mises à disposition par des tiers. » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
Paramètre qui caractéristique la quantité d’énergie fournie par un carburant. Cette grandeur est exprimée en kJ/l (PCI volumique) ou en kj/kg (PCI massique).
Voir Produits résiduaires organiques
« Fait référence à toutes les matières résiduaires organiques pouvant être épandues en agriculture à l’état brut ou traitées. Le terme PRO désigne les matières considérées par le terme de MAFOR exceptées les matières minérales. Le terme PRO regroupe ainsi les effluents d’élevage et les matières organiques, traitées ou non, provenant de l’agriculture (ex. bois de taille), des activités urbaines (ex. boues de STEP, ordures ménagères), des industries agro-alimentaires (ex. vinasses, plumes, boues de laiteries) et autres industries (ex. boues papetières). » – INRAE
Voir Traitement de réduction de la teneur en eau
« Le séchage thermique est un procédé intermédiaire de traitement des boues qui consiste à évaporer l’eau qu’elles contiennent. Cela permet de réduire de manière significative le volume et le poids des boues et de favoriser leur valorisation. » – https://www.suez.com/fr/notre-offre/collectivites-locales/quel-est-votre-besoin/gestion-de-l-eau/gestion-des-boues-et-sous-produits/sechage-des-boues
« Captage et stockage du carbone de l’atmosphère dans des puits de carbone (comme les océans, les forêts et les sols) par le biais de processus physiques et biologiques tels que la photosynthèse. » – https://www.greenfacts.org/fr/glossaire/pqrs/sequestration-carbone.htm
« La siccité est le pourcentage massique de Matière Sèche d’une MAFOR. Ainsi, une boue avec une siccité de 10 % présente une humidité de 90 %. » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
« Matières d’origine animale (cadavres entiers ou parties d’animaux, les produits d’origine animale ou d’autres produits obtenus à partir d’animaux) soit exclus de la consommation humaine pour des raisons réglementaires ou soit intentionnellement non destinés à la consommation humaine. Les biodéchets sont considérés comme des sous-produits animaux à l’exception de ceux qui sont composés de déchets verts ou d’aliment d’origine végétale (reste de marché, déconditionnement de boite de conserve de légumes…). » – Rapport CSF Nouveaux systèmes énergétiques
Voir Traitement de stabilisation de la matière organique
« Centre de traitement de l’eau. Ce centre de traitement a deux missions bien distinctes. La première, recycler les eaux usées en éliminant les polluants avant leur rejet dans la nature. La deuxième, rendre les eaux naturelles propres et sans danger pour la consommation humaine. Une station d’épuration élimine les polluants de l’eau à travers quatre procédés : un traitement mécanique qui élimine les déchets par tamisage et décantation, un traitement biologique qui élimine les matières organiques et minérales par la culture microbienne, un traitement chimique qui élimine les substances dangereuses par l’ajout de produits chimiques et la désinfection par UV, ozonisation ou par le chlore qui tuent les germes pathogènes. » – https://www.tlgpro.fr/2018/11/quest-ce-quune-step-station-depuration-des-eaux-usees/
Station de Traitement des Eaux Usées
« Le stockage est le dernier maillon dans la chaîne de gestion des déchets. Il concerne la fraction des déchets qui ne peut être valorisée sous forme de matière ou d’énergie dans les conditions techniques et économiques du moment. Il existe plusieurs types d’installations : les installations de stockage de déchets dangereux (ISDD), les installations de stockage des déchets inertes, les installations de stockage des déchets non dangereux » – ADEME
« Un support de culture est destiné à servir de milieu de culture à certains végétaux en permettant à la fois d’ancrer les organes absorbants des plantes et de les mettre en contact avec les solutions nécessaires à la croissance. La tourbe, le terreau, les laines de roche sont utilisées comme supports de culture. » – ANSES
voir Traitement mécano-biologique
« Ce traitement détruit les microorganismes pathogènes (bactéries, virus) présents dans les boues. » – Plaquette SYPREA sur la valorisation des boues d’épuration
« Ce traitement réduit la capacité des boues à entrer en fermentation, ce qui atténue voire supprime les mauvaises odeurs. » – Plaquette SYPREA sur la valorisation des boues d’épuration
Le traitement mécano-biologique (TMB) s’applique aux ordures ménagères résiduelles (OMR). Il consiste en l’imbrication étroite d’opérations mécaniques (dilacérations et tris) et d’étapes biologiques (compostage, méthanisation). Les 5 objectifs possibles pour un TMB sont, sur la fraction à haut PCI (pouvoir calorifique inférieur) du déchet, produire de l’énergie sous forme de CSR (combustible solide de récupération); sur la fraction fermentescible du déchet, produire de l’énergie sous forme de biogaz, fabriquer du compost et réduire et stabiliser les déchets avant de les mettre en décharge; enfin sur l’ensemble du déchet, recycler des matériaux (métaux, plastiques, papiers-cartons). » – ADEME
« Les procédés d’épaississement, de déshydratation ou de séchage permettent de diminuer le volume des boues et d’améliorer leurs caractéristiques physiques. » – Plaquette SYPREA sur la valorisation des boues d’épuration
« Valeur d’une MAFOR examinée sous l’angle d’apport d’humus stable. Elle est examinée via des indicateurs tels le C/N (plus il est élevé plus la MAFOR a une valeur amendante), l’ISB ou l’ISMO. » – Chambre d’agriculture d’Occitanie
« La valorisation énergétique consiste à récupérer et à valoriser l’énergie produite lors du traitement des déchets sous forme de chaleur, d’électricité, de carburant. On peut distinguer deux sortes de valorisation énergétique : la valorisation par traitement thermique (incinération, co-incinération, pyrolyse et gazéification) et la valorisation du biogaz issu notamment des installations de stockage de déchets non dangereux et de la méthanisation des déchets organiques. » – FNADE
« La valorisation organique désigne l’ensemble des modes de gestion et de valorisation des déchets biodégradables (déchets alimentaires, déchets verts, boues urbaines, boues industrielles, déchets des industries agro-alimentaires, déchets agricoles…). Les déchets biodégradables peuvent être valorisés via 2 grands modes de traitement : le compostage et la méthanisation. » – FNADE
Zinc